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La tribune de Women on Earth.
Réflexions, opinions, témoignages, récits, poèmes, histoires personnelles, billets d'humeur ou d'humour... WE ! write est un espace de lecture et de publication pour toutes les femmes ouvertes d’esprit, curieuses et naturellement en... verve.
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Poèmes
Substances
Prends un verre
Allez, un verre d\'alcool
Et tu décolles
C\'est cool, c\'est frais
Allez ok? ça roule, c\'est super!..
Mais tu peux tellement,
Tellement en payer les frais,
Sans même, t\'en appercevoir
Ni voir,
Quand il est trop tard
Hey! arrêtes!..tu deviens un chauffard
Tu ne vois plus rien
Même plus les fars, des autres,
Tellement tu es allumé
Pour qui? Pour quoi?
Etre allumé par cette substance
Qui te donne une consist (...)
Coup de foudre ou....pour un pantalon
Il y a en cet endroit
Dit-on cinq cent milles habitants..
Quand tu pars de chez toi
C\'est tout droit
Disent les gens
Et pourtant
Je n\'ai vu que toi
Hà! tu te souviens
Je te regardais avec les yeux
Les yeux des premiers instants
Nous étions deux parmi tous ces gens
Et je dois avouer
Non sans honte
Que mon premier regard
Se basait sur ton pantalon
C\'était un jean 501 ou non!
Ca m\'était égal!
Tellement il t\'allait bien
E (...)
Déchainé
J\'imagine et je vois
Une image comme une vision
De la mer..cette mer qui se déchaine
Aussi, il y a un vent fort qui arrive
sur l\'océan garnie de tous ses poissons
Au loin, on le sent doucement...
Va t-il nous carresser,
Nous apaiser calmant nos différents
Où peut-être nous énnerver
Qui sait!!!
Et tout d\'un coup, le voilà qui arrive
Il balaie, balaie de son air vif
Brisant toutes ces chaînes
Qui m\'entouraient, m\'emprisonnaie (...)
Oser
Tu me tournes le dos
Je le sens, je m\'appoche
Et, j\'imagine ta peau
Où je me dis tantôt, caresse, ose
J\'aimerais te faire pleins de cadeaux
Les plus beaux, évidemment!
Avec ou sans valeur
Si, pardon, celle de mon Coeur
Tellement, j\'ai le sentiment
Si bizarre parfois,
Qu\'il fait froid
Tu me glaces
Je dois réchauffer ce Coeur!
Sans peur, et oser ce baisé
Tant désiré, parfois.
Une poignée de main
Si nos chemins se croisent,
Regardez-moi dans les yeux
Quand vous me saluez.
Vous voyez, je ne suis ni son ombre,
Ni son reflet.
Je suis moi,
Pas un +1, ou femme de ...
Si vous me serrez la main,
Essayez de retenir mon prénom,
Non pas par convenance ou intérêt,
Mais parce que j\'ai autant ma place
Sur cette terre, à cet endroit,
Que lui, ou vous, ou elle ...
Etre celui ...
Tu es cette lubie, qui chaque nuits ravive mes insomnies.
Tu es cet espoir, qui me donne le courage d\'affronter mes idées noires.
Tu es cet instant, qui je voudrais prolonger éternellement.
Tu es cette etincelle, qui chaque seconde me donne des ailes.
Tu es pour moi tout ce que je n\'osais espérer,
je veux t\'aimer comme jamais il ne m\'a été donner d\'aimer.
J\'irais ceuillir la pluie, dans des arbres de rosée pour que celle ci irigue c (...)
Observation
Qui vivra vera ... Vera tu pour moi lorsque je ne serais plus là ? Seras tu mes yeux quand les miens se feront vieux ? Seras tu mes bras lorsque les miens seront las ? Tant de questions qui déchirent mon horizon, j\'avance dans le noir, condamnée à l\'errance de mes sens ... Je prie pour qu\'il nous reste un soir, pour que le temps arrête ça course de dément. Je voudrais vivre encore ces instants, mes dernières années je veux les passées à tes cô (...)
La rose
Elle brille de fierté
rayonne de clarté
Garde la tête haute
Ne commet pas de faute
Hélas,
Son sourit n\'est qu\'un masque
Une armure, une marque
Elle fabrique sa confiance
Pour sauver sa consience
Elle enterre sa souffrance
Pour préserver le silence
Ses paroles semblent légères
Pour tuer la misère,
De ses sentiments.
La vie n\'a plus de limite
Pas la peine d\'epiloguer sur ce qui nous est arrivé,
c\'est évident, tellement parfait.
En un instant me voilà tienne, aujourd\'hui, demain, toujours... qu\'importe la distance, qu\'importe le lieu, nous avons l\'aisance de nous adapter au mieux..
Un jour suffit à rattraper toutes ces années. On s\'est cherché, sans ce trouver, gardant espoir, elle est venue notre heure de gloire !
Je t\'aimerais, comme tu ne peux croire, je te ferais voir (...)
L'Étrangère
Étrange étrangère assise sur l’étagère.
Les tranches d’un seul livre
sur une planche de bois.
Soudain tu aperçois
la poussière qui colle.
Malgré moi j’ai vécu,
et plus encore rêvé, ivre,
à un arbre esseulé,
à un recueil non lu
dans une forêt folle.
Fontaine de joie
Claire fontaine de joie
Dans un vieux village gris
Rafraîchit tes lèvres
Papillon jaune
Papillon jaune
Traverse l'autoroute
Éclaircit tes yeux
Au vol
Cueillant tous vos signes infimes ou délicats
je pêche à contre-courant les empreintes du temps
et remonte sous le vent mes cinq sens
Alors du fa dièse à l'éperluette
je réinvente à chaque instant mon présent
Poussière d'étoile (relié au collage éponyme)
Étoile filante vibre encore,
trop tôt voilée à mes yeux blessés.
Ta sortie m'éblouit,
saigne mon coeur débile,
si fragile,
orpheline
cache-cash !
Échappée de mon asile cérébral
je prends la fuite en habit de lumière
recherchant mes couleurs...
Clown, travesti, danseuse de corde, équilibriste,
incognito, je rôde...
Attention aux heures blanches qui dégueulent des gargouilles,
un coeur à nu minaude
Le hasard pour conduite, poisson-pilote éclectique,
portée par la musique, rêve de rencontres multiples...
Le frisson sous les ongles, randonneuse chaotique,
me jouant des vertiges, (...)
temps suspendu
En n'attendant rien, je cueille les aiguilles qui détournent le temps
Pendue dessus ma tête, l'ombre vacille,
elle me guette,
je resquille !
Je cherche une bouche de chaleur, un baiser sans rancoeur
Mais qu'est-ce que je manigance,
un instant, je balance,
élégance ou arrogance,
je poursuis mon errance...
Tromper l'absence,
maquiller sans complaisance l'innocence écartelée
Un désir louche me bouffe et m'abandonne précaire
dérive am (...)
haut et court
sans pendule ni mobile,
pour jouer avec le temps,
le suspendit...
Savigny le Temple, rue du Clocher
Envie. Désir. Feu dans mon corps.
Dans chacun des pores de ma peau.
Ivresse de nos étreintes amoureuses.
Je suis maudite, ensorcelée.
Possédée ou dépossédée.
Mon corps en tourmente, en absence, silencieux, corps anoréxique, famélique, à la peau si douce.
Un fruit défendu.
Corps diabétique, fatigué, douloureux,
corps dans la démence. Tempête.
Un cri.
Je suis,
je veux,
j’envie,
je suis toute une vie au bord de mes (...)
Montpellier, rue de la Cavalerie
Sur ta peau par ma bouche j'ai glissé
lentement, sans bruit,
lentement ma bouche sur tes nuits
pour habiller ta peau
y respirer la fleur y manger les fruits.
Laisse mon odeur se mêler à ta voix,
me coller à tes pas,
ma main sur ton corps endormi,
matin heureux le long de tes cheveux,
ma main le temps de ton cou, viens je te veux,
au bout de mes doigts le parfum de ton dernier rêve.
Ouvre les yeux et vois comme le monde est beau !
(...)
Collioure, rue du Petit Puits, numéros impairs
Une trêve
Moment de calme et de silence
Enfin la paix
Le cœur en respiration, le corps en abandon
Oxygène
Des caresses pour réparer les bleus
Des sourires sur des plaies encore béantes,
du rouge à tes lèvres mon amour
pour boire tout ce sang d’hier
Des baisers pour gommer, effacer les cicatrices
De la douceur en-corps, en-cœur,
pour chasser les démons et les fantômes
collés à mes nuits
Une trêve
Moment de calme et de silence
(...)
Collioure, rue de la Fraternité
Là où tu n'es pas, reste le temps qui s'étire, qui s'allonge, reste la vie cyclique et immuable. L'espace sans toi se noie dans les bruines de ton parfum et se terre dans l'emprunte de tes pas.
Là où tu n'es pas, restent les murs qui rougissent entre les bruits sourds de la ville, absence de vie, reste le silence autour duquel s’enchevêtrent l’ombre des passants d’hier, le vacarme de nos vies terrestres, le silence comme un Tout recouvrant les (...)
Nulle part et partout à la fois
Tu es, dans l'ombre de mes pas, celle que j'ai cherchée pour m'accompagner,
Tu es, au bout de mes rêves, tout au bout de ma voix, tu es, tout ce que je sais de la vie et tout ce que je ne sais pas, tu es l'envie et le désir de me remplir,
Tu es,
ma liberté.
Les gens me parlent et passent à mes côtés, le temps court, plie sous le quotidien, le temps va et vient mais tu es, cette heure arrêtée sur la grande horloge, tu es la minute qui (...)
Racines
Des doigts comme des racines au goût de soleil,
goût de mer, gorgées de vents parfois doux,
parfois violents et amers,
des racines gorgées de désirs et d’envies
sorties de terre, aériennes et légères.
En exil.
Racines à mon cœur auxquelles je voudrais m’accrocher et nouer ma vie, tresser mon être au bout de tes doigts, tout au bout, bout de toi.
Instant de grâce.
Un silence entre le vacarme de nos vies abîmées, torturées, mome (...)
Collioure, rue du Petit Puits, numéros pairs
Je voudrais te dire mais je ne peux pas,
lorsque la vie respire dans mon ventre,
lorsque la musique au bout de mes oreilles
m’envole irrésistiblement vers toi,
lorsque les mots roulent sous mes doigts
comme autant de caresses sur ta peau,
lorsque je suis, chaque jour, au jour le jour
parce que tu coules en moi.
Je voudrais
mais je ne peux pas.
Il faudrait à la vie une autre vie…
Il faudrait des silences à mes jours et mes (...)
MODÈLES VIVANTS, d'après une idée originale de G. Lagrille
Minérale
Fossile d'un autre temps
à mon être attaché
la douleur passe sur mon corps
Je fouille le passé
ses pierres de misère
et libère ma colère
Corps de marbre, coeur de pierre
tombeau où je me perds
Guerre intime menée, fière
comme un phare planté
témoin de mes rires
narguant mes peurs
Ma vie n'a pour sens
que celui d'être
Je suis
Animale
Tu bondis sur ma vie
je soupire, tu gémis
Mon ventre se tend
ton corps s'étire
Gonflé (...)
Non so nuotare
Un giorno riuscirò a riconoscerti.
Indosserò un vestito rosa
e le scarpe con il tacco.
Tu, il tuo sorriso migliore.
Quando i lacci saranno sciolti, il vento
mi scompiglierà i capelli e tu li raccoglierai
nella tua mano. Ogni sasso
troverà il suo posto.
E anche i miei occhi.
Quel giorno
sarò impegnata a non affogare.
E tu ricorderai che io
non so nuotare. La mia voce
ti farà paura. Il mio corpo fremerà
nello spasimo del canto (...)
Me, femmina
Ripongo i desideri tra le pieghe
del silenzio. Non sai quanto
la tua bellezza mi ferisce. Perduta
tra le macerie dei miei sogni, leggo
il mio nome su quei macabri fogli.
M\'importava, delle conseguenze.
Stabilità, staticità, gli altri
- granelli di sabbia che scorrono
e ricoprono me, femmina.
Nessun nodo si è mai sciolto
convivono nel limbo dell\'attesa.
Nei tuoi occhi luminosi, sicuri.
Tu prendi tutto con un solo slancio.
Io (...)
Cercami, poi trovami
Cercami, poi trovami tra le righe
dei tuoi discorsi, nei bar affollati.
Dietro quella luna così grande
da spaventarci. A volte, senza te
mi sorprendo nei gesti di mia madre.
Le labbra tese in un\'espressione
amara. E mi guardo da un piano
inclinato, mi vedo sdoppiata tra
una vecchia pazza e i capricci
di bambina. Come posso riuscire
a imparare dalle briciole di
sguardi cangianti, dalle sue urla che
feriscono le orecchie. Indosso (...)
Nuda, ancora una volta
Nuda, ancora una volta. Un'altra
goccia di sudore scivola lungo
la schiena. I miei occhi sono chiusi
per nascondermi, dimenticarmi. Ora
come sempre, persa in un mondo
che mi appartiene. Voglio provare
a togliere quel velo che ricopre
la pelle mia, vera. Per mostrare.
Voglio uscire da quella soffitta
il cui calore mi trattiene, dentro.
Ideale di me che non esiste.
Voglio dare via la parte di me
imprigionata in una gabbia. Ora
(...)
Desideri frantumati
Con la smania cosparsa sulla pelle
come la polvere di desideri
frantumati, aspetto che arrivi
un momento giusto, per smettere di
ricordarmi di te. E questa notte
il mondo è di nuovo capovolto
nei miei sogni accaldati, intrisi
di nero e vecchi ricordi. Io, mai
potrò avere quello che tu vuoi.
Forse.
Assimilate da buone intenzioni
non ci curiamo delle ferite
sempre aperte. Passeranno i rimpianti
resterà tutto fermo, incompiuto (...)
Non ho altra scelta
In un posto come questo puoi
non salutare gli altri. Lo sguardo
resta fisso e vede solo il blu
delle sedie. È meglio lo squallore
della stanza invece degli occhi
della gente. Ma quando mi trovo qui
devo affrontare lo squallore dei
miei anni. Come una persona
qualunque, cerco di giustificarmi.
E spero che mi sentirò normale
seduta sul bordo di questa sedia.
Non ho altra scelta che restare qui.
Donna nuova
Ascolto le armoniche del tuo
respiro. Sono note che cantano
la vita passata. Io ascolto
e cerco una parte di me che mai
potrò essere. Il tempo trascorre
lento, e resto seduta su questa
valigia di resti ché non si apra.
Mi trattengo, mi tengo come olio
leggera in superficie. Vorrei
esplodere talmente che implodo.
Schegge di me si fissano ovunque.
Sanguino, e silenziosa aspetto
quella fine che ti porta di nuovo
al principio. La (...)
Un sorriso dolce e tumefatto
La realtà è un dolore troppo
grande per poterci vivere dentro.
Forse, con un po' di pazienza, posso
scandire tutte le sillabe che mi
restano. Legarle insieme oggi
per dar loro un senso domani. Se
ripercorro a ritroso distese
di paragrafi afflitti, morbosi.
Se resto incastrata nelle stesse
fessure, con gli occhi dalla parte
sbagliata. Se mi stendo, fingendo di
essere morta. Ti regalerò un
sorriso, dolce e tumefatto, per
dirti: (...)
Ti ho vista triste
Ti ho vista triste
con le braccia piene di vita.
Le rispondi con l'istinto
e non con le intenzioni.
I tuoi seni ricolmi non bastano
a riempire la cavità svuotata
dalla tua essenza.
Rassegnata agli eventi
la vita si ripete.
Circolare, inevitabile.
Seduta e inerte, aspetti
quel cavaliere bianco che può
salvarti. Ma lo sai
esiste solo nei tuoi sogni.
Reclamo
Reclamo uno spazio
pulito
dalle sentenze dei corvi.
Questa rete a maglie larghe
mi confonde le emozioni.
Reclamo regole
certe
da poter infrangere
e un giudice imparziale
che mi prenda in simpatia.
Reclamo un'età
assolata
piena d'ironia.
Quando verranno mozzati
i ghigni
voglio stare in prima fila.
Reclamo una storia
diversa
ma con la stessa vita.
Vissuta
con il solito travestimento
e persa in partenza.
Ti ho immaginato
Ti ho immaginato
che abbracciavi la mia vita
forte, per non farmi scappare.
Ti ho immaginato
guardarmi negli occhi per ore
fino a dimenticarne il colore.
Ti ho immaginato
che proteggevi ogni mio passo
per nascondermi il tuo mondo.
Ti ho immaginato
che giocavi con i miei ideali
fino a frantumarli, uno ad uno.
Tu sei
quello che non dovrei mai
vedere, sentire, ascoltare.
Tu puoi
inventare una vita intera,
senza viverla mai (...)
Amore e Psiche
E' così ridicolo pensare
di poterti parlare
in un posto che non sia
la mia immaginazione.
Ed il tuo egoismo è grande
quando tocchi il cuore
così profondamente
e nessuno può ridarti quella forza
l'emozione.
Con le orecchie sature e piene
di chitarre distorte,
sento la mia intimità violata,
nel pieno, lacerante.
E ritrovo ancora il nodo
mai sciolto dentro di me
solo assopito.
Le parole che hai copiato
sono qui, nei miei pensi (...)
Winter, nearly over
Golden light, finally
filters through the naked trees.
Ground still hard,
but life is poking through
Gingerly, with trepidation.
Fine green shoots of hope and promise.
Crocus, snowdrop, daffodils,
Tiny fingers reaching for the sky
From the secret womb of the earth.
Their message is one of renewal,
the cycle of life beginning again,
Heralding the softer breath of Spring.
his last
he told me he would leave for the party
he said he felt bad about it and asked me
i told him to go or stay, it didn't matter
i had to sleep at some point anyway
but he stayed
not for me or because
not for the night, wet and silent beyond the big window
he stayed for his own pleasure
for a piece of him that was already mine
and enjoyed
as i did when he collected his clothes
embarrassed by his pettiness
by the look of me sate (...)
"Woman"
Woman, women out of earth Thirsty lips, seeking for water Faraway, there were just sky &tree What are these suffers for? Is there any ability to reach water? Water behind boarders Fish are fastened Lonely tired hands, but effortful Training, seeking, growing And this woman is the one lasts…
"Woman"by Neda Darzi-Oct 2002
The Anguished knight
The pleasure is mine whispered the knight to himself
as he gallantly lifted his bow
The arrow was plucked with his tender touch
as he patiently aimed at his foe.
At lightning speed and a soft moan from his throat
He knew he had drawn first blood.
In the darkness that followed, torment and despair
were there at the path that he chose
What lay ahead could not be seen by himself or others in tow
Would the loss be his alone to carry
or wo (...)
Soaring
With delicate wings of frosty light,
my heart soars into greater hights
in a frail dream of angelic blue skies.
Winds
Like the winds of the Cyclades
suddenly falling from clear blue skies
furiously running over open seas
your music just turned my world into
a fierce turmoil of boiling waves
In the distance - a new horizon...
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La Collection |
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L'artiste au premier plan |
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