Essais
La culture , un tremplin pour un business plus solidaire ...?
L’art est une dimension intrinsèque à la culture et on peut identifier divers bénéfices directs ou indirects du soutien aux activités artistiques par les entreprises.
À ce titre, une étude de l’Université de Pennsylvanie a démontré qu’une forte concentration d’activités culturelles dans une ville menait à plus d’engagement civique, de cohésion sociale et à des taux de pauvreté plus bas. (http://www.sp2.upenn.edu/SIAP/).
L’impact positif de (...)
La Femme, élément moteur d’une croissance durable.
« Une nouvelle femme est en marche », de plus en plus de médias fleurissent de ces remarques qui si elles ne sont nullement féministe, mérite de souligner que la position de la femme est encore trop souvent isolée ou ignorée dans certaines régions du globe.
Il est vrai que certaines expériences prouvent et démontrent que les femmes ont un vrai rôle à jouer dans le développement culturel et économique de chaque nation.
En effet, au delà d’êt (...)
INSPIRATION
Je suis en colère.
Tu n'es pas au rendez-vous en ce moment.
Mon crayon dérape sur ma feuille.
S'essaye à quelques dessins de lettres.
Et puis gribouille des formes informes.
Tu n'es pas au rendez-vous.
J'ai pourtant besoin de toi.
Mon crayon doit encore courir sur les lignes.
Entre les lignes, il n'ya plus rien.
Je ne te ressens pas, je ne te sens plus.
Où est-tu partie ?
Te caches tu là où je ne sais pas regarder ?
Tu dois revenir.
(...)
Le beau est-il universel ?
Les philosophes, de l’antiquité à nos jours, ont continûment exprimé leurs réserves sur une théorie du beau (esthétique) qui serait claire et solide. Platon, tout en associant le beau au bien, sépare la logique (Noêta) de la sensation (Aistesis). Cette opposition apparemment simple traversera les siècles.
La dissociation entre logique et émotions sera également au cœur des interrogations des philosophes allemands du 18e siècle et Alexander Gottl (...)
Le Fruttette di San Barbino ovvero L'orgoglio di un Re
[...] Dopo l’imprescindibile periodo di lutto, il nuovo re parlò alla popolazione annunciando un periodo di grande splendore per San Barbino: lui amava i sanbarbinesi come fosse stato uno di loro e avrebbe fatto per il suo regno il possibile, l’impossibile e anche qualche miracolo. Il tempo passò e come per tutte le cose nuove, la popolazione di San Barbino si abituò senza troppi problemi al nuovo sovrano.
Egli era allegro, sempre di umor facet (...)